PVT en Asie : Le Guide Ultime pour Bien Préparer son Aventure
Envie de partir en PVT en Asie ? Découvre notre guide complet pour bien préparer ton aventure au Japon, Taïwan, Corée ou Hong Kong.
Sommaire
- 1. Le PVT, c’est quoi exactement ?
- Où peut-on faire un PVT en Asie ?
- Pourquoi tenter le PVT en Asie ?
- 2. Pourquoi choisir l’Asie pour un PVT ?
- Une richesse culturelle unique
- Un coût de la vie souvent plus abordable
- Des opportunités de travail variées
- Chaque pays a sa vibe
- 3. Préparer son dossier de demande
- Les conditions générales du PVT
- Les démarches par pays
- Et pour t’aider : le site PVTistes.net
- 4. Les premières étapes sur place
- Ouvrir un compte bancaire
- Trouver un logement
- Carte SIM, transports, applis utiles
- 5. Travailler pendant son PVT : quelles options ?
- Petits boulots accessibles aux étrangers
- Enseigner l’anglais : une option (presque) classique
- 6. Conseils pratiques pour vivre un bon PVT
- Prévoir un budget réaliste
- Bons plans à connaître
- Conclusion : Le PVT en Asie, une aventure qui change une vie
T’as envie de tout plaquer pour partir à l’autre bout du monde ? De découvrir une nouvelle culture, vivre une vraie aventure, tout en bossant un peu pour financer ton voyage ? Le PVT, c’est peut-être exactement ce qu’il te faut.
Le Programme Vacances-Travail, c’est un visa qui te permet de vivre et bosser légalement dans un autre pays pendant plusieurs mois (souvent un an). Et franchement, l’Asie, c’est un terrain de jeu incroyable pour ça : des paysages de folie, une culture dépaysante, de la nourriture à tomber par terre et, souvent, un coût de la vie plutôt abordable.
Mais avant de faire ton sac à dos et de booker un aller simple, il faut un minimum de préparation. Chaque pays a ses règles, ses petits pièges, et ses bons plans aussi. Dans cet article, on va voir tout ce qu’il faut savoir pour partir en PVT en Asie sereinement et éviter les galères.
On va parler des pays qui proposent le PVT, comment faire ta demande, quoi prévoir avant de partir, et surtout comment kiffer une fois sur place. Que tu sois plutôt Corée du Sud, Japon, Taïwan ou ailleurs, tu trouveras ici de quoi bien te préparer.
Allez, on attaque !
1. Le PVT, c’est quoi exactement ?

Tu en as peut-être déjà entendu parler : le PVT, ou Permis Vacances-Travail, c’est un visa qui te permet de vivre et bosser à l’étranger pendant plusieurs mois. L’idée ? Voyager plus longtemps qu’en simple touriste, découvrir un pays de l’intérieur, tout en ayant le droit de travailler pour financer ton aventure. Plutôt cool, non ?
Ce type de visa s’adresse surtout aux jeunes entre 18 et 30 ou 35 ans. Il te laisse une vraie liberté : tu peux explorer, t’installer un moment quelque part, faire des petits boulots, rencontrer du monde… bref, vivre une vraie expérience à l’étranger sans exploser ton budget.
Où peut-on faire un PVT en Asie ?
Quand on pense PVT, on pense souvent à l’Australie ou au Canada. Mais si tu veux changer un peu des sentiers battus, l’Asie offre aussi de super opportunités. Voici les principales destinations accessibles aux Français :
Le Japon : c’est LA destination phare. Entre temples, ramen et métro futuriste, le Japon attire chaque année pas mal de pvtistes. Tu peux y rester un an, et bosser dans la restau, les écoles de langue, ou d’autres petits jobs accessibles.
La Corée du Sud : avec la popularité de la K-pop, du cinéma coréen et des dramas, la Corée attire de plus en plus. Le pays est dynamique, super connecté, et propose un PVT d’un an également.
Taïwan : souvent méconnu, mais franchement sous-estimé. C’est une île pleine de charme, avec une nature incroyable, une culture riche, et un coût de la vie plus bas que ses voisins.
Hong Kong : plus urbain, plus intense aussi. C’est un bon choix si tu veux vivre dans une mégapole internationale et que tu aimes le rythme citadin.
Chacun de ces pays a ses propres conditions, mais le principe reste le même : te permettre de vivre une vraie immersion tout en gardant une certaine flexibilité.
Pourquoi tenter le PVT en Asie ?
Parce que c’est un mélange parfait entre découverte, liberté et apprentissage. Tu peux :
Sortir de ta zone de confort
Explorer une culture radicalement différente
Apprendre une nouvelle langue
Faire des rencontres que tu n’aurais jamais imaginées
Et revenir avec des souvenirs (et des skills) plein la tête
Le PVT, c’est une belle parenthèse dans un parcours, un tremplin pour la suite ou juste un rêve à réaliser. Et l’Asie, avec sa richesse et sa diversité, est un terrain de jeu incroyable pour ça.
2. Pourquoi choisir l’Asie pour un PVT ?
Faire un PVT, c’est déjà une belle aventure. Mais le faire en Asie, c’est carrément une plongée dans un autre monde. Ici, tout est différent : la langue, la cuisine, les traditions, le rythme de vie. Et c’est justement ça qui rend l’expérience aussi enrichissante.
Une richesse culturelle unique
L’Asie, c’est un continent où chaque pays a des milliers d’années d’histoire, de rituels, de philosophies. Que tu sois au Japon avec ses sanctuaires paisibles et ses rues ultra-modernes, ou en Corée avec ses cafés futuristes et ses temples nichés dans les montagnes, tu n’es jamais à court de découvertes.
Le plus beau, c’est que tu n’es pas juste spectateur. Avec un PVT, tu vis sur place, tu t’imprègnes du quotidien, tu t’adaptes. Et ça, ça change tout.
Un coût de la vie souvent plus abordable
C’est aussi un vrai argument : dans certains pays asiatiques, vivre coûte bien moins cher qu’en Europe. À Taïwan, par exemple, tu peux manger dehors pour quelques euros, louer une chambre correcte sans te ruiner, et te déplacer facilement. Même au Japon ou en Corée, si tu gères bien ton budget, tu peux t’en sortir.
Ça te permet de vivre plus longtemps sur place, sans stresser pour chaque dépense.
Des opportunités de travail variées
Même si le PVT ne garantit pas un emploi, il t’ouvre des portes. Tu peux :
Donner des cours de langue (français, anglais…)
Travailler dans des cafés ou des restos
Faire des missions dans des auberges ou des guesthouses
Aider des startups locales qui cherchent des profils internationaux
En gros, tu peux bosser tout en continuant d’explorer, sans être bloqué dans une routine.
Un vrai dépaysement… et une meilleure connaissance de soi
L’Asie, c’est parfois un choc culturel mais dans le bon sens. Tu es confronté à de nouvelles façons de penser, de vivre, de communiquer. Ça bouscule un peu, mais ça t’apprend énormément sur toi. Tu développes ton adaptabilité, ta patience, ta curiosité.
Et franchement, on sort grandi de ce genre d’expérience. C’est le genre de voyage qui te marque pour longtemps, pas juste parce que c’était “cool”, mais parce que ça t’a transformé.
Chaque pays a sa vibe
Le Japon, c’est l’organisation, la politesse extrême, les contrastes entre tradition et futur.
La Corée, c’est le dynamisme, les tendances culturelles, la vie nocturne.
Taïwan, c’est la douceur de vivre, les marchés de nuit, la gentillesse des gens.
Hong Kong, c’est l’intensité, la verticalité, la rencontre entre Orient et Occident.
À toi de choisir ce qui te parle le plus.
3. Préparer son dossier de demande

Maintenant que tu as ton pays en tête, place aux démarches ! Eh oui, chaque destination a ses propres conditions et petits papiers à fournir. Pas de panique : je t’explique tout clairement, pays par pays, pour que tu puisses faire ça les doigts dans le nez (ou presque).
Les conditions générales du PVT
Globalement, pour tous les pays d’Asie qui proposent le PVT, il faut :
Être Français(e) (ou belge/canadien·ne selon les accords)
Avoir entre 18 et 30 ans (jusqu’à 35 ans pour certains pays comme le Canada)
Ne pas avoir déjà fait un PVT dans ce pays
Avoir un passeport valide
Disposer de fonds suffisants (entre 2 000 € et 4 000 € selon les pays)
Souscrire à une assurance santé internationale
Avoir une motivation claire : voyage, découverte, immersion… pas seulement le travail
Les démarches par pays
Japon 🇯🇵
Quota annuel : oui (environ 1 500 places pour la France)
Dépôt du dossier : en personne à l’ambassade ou au consulat
Documents demandés : formulaire, lettre de motivation, CV, itinéraire prévisionnel, attestation d’épargne (minimum 3 100 €), assurance
Temps de traitement : environ 1 à 3 semaines
Petit conseil : prépare bien ton itinéraire prévisionnel (même approximatif), c’est souvent là-dessus que le dossier se joue.
Corée du Sud 🇰🇷
Quota : oui, mais rarement saturé
Dépôt : en consulat/ambassade, parfois par courrier
Documents : formulaire, lettre, CV, preuve de fonds (2 500 € minimum), assurance, billet d’avion ou fonds suffisants pour l’acheter
Temps de traitement : 1 à 2 semaines
Bonus : il est possible de postuler assez facilement si ton dossier est complet.
Taïwan 🇹🇼
Quota : non (pas de limite pour les Français)
Dépôt : directement auprès du Bureau de Représentation de Taipei en France
Documents : formulaire, lettre de motivation, CV, preuve de fonds (2 100 € minimum), assurance, extrait de casier judiciaire
Temps de traitement : rapide, en général moins de 10 jours
Attention : tu ne peux faire la demande que depuis la France.
Hong Kong 🇭🇰
Quota : oui (200 places pour les Français)
Dépôt : uniquement par courrier (via l’ambassade de Chine à Paris)
Documents : formulaire, lettre, CV, billet d’avion aller-retour ou preuve de fonds, justificatif de logement, assurance, extrait de casier judiciaire
Temps de traitement : environ 4 à 6 semaines
Point à noter : les exigences sont un peu plus strictes ici, alors lis bien les consignes.
Et pour t’aider : le site PVTistes.net
Franchement, si tu veux un guide ultra détaillé pour chaque destination, avec des modèles, des checklists et les infos à jour, va faire un tour sur PVTistes.net. C’est LA référence francophone pour les démarches PVT, et leur communauté est super active.
4. Les premières étapes sur place

Une fois ton visa en poche et les pieds posés sur le sol asiatique, c’est là que l’aventure commence vraiment. Mais avant de partir à la découverte des temples, des ruelles animées ou des karaokés jusqu’à 3h du mat’, il y a quelques petites formalités à régler. Rien de bien méchant, mais mieux vaut les avoir en tête pour s’installer sereinement.
Ouvrir un compte bancaire
Dans certains pays comme le Japon ou la Corée du Sud, avoir un compte bancaire local peut être indispensable, surtout si tu comptes bosser sur place.
Japon : Tu pourras ouvrir un compte dès que tu as une adresse fixe. Des banques comme Japan Post Bank ou Shinsei Bank sont assez ouvertes aux étrangers.
Corée : Même principe, avec des banques comme KB Kookmin, Woori Bank ou Hana Bank. Attention, certains établissements demandent un numéro d'identification coréen (que tu obtiens en t’enregistrant à l'immigration).
Taïwan : Possible d’ouvrir un compte, souvent avec passeport + ID number
Hong Kong : C’est un peu plus compliqué sans contrat de travail ou preuve de résidence, mais pas impossible si tu restes longtemps.
Astuce : commence avec du cash ou une carte type Wise ou Revolut pour éviter les frais en attendant.
Trouver un logement
Pas besoin de stresser : tu n’es pas obligé de signer un bail de 12 mois dès ton arrivée. Beaucoup de PVTistes commencent dans une guesthouse, une auberge de jeunesse ou un Airbnb, le temps de se retourner.
Ensuite, selon ton budget et la ville, tu peux :
Japon/Corée : Chercher une sharehouse (colocation) via des sites comme Sakura House (JP), Ziptoss ou Goshipages (KR)
Taïwan : Facebook est ton ami. Les groupes comme “Taipei Rent” ou “Kaohsiung Apartment Rentals” sont très actifs.
Hong Kong : Prépare-toi à des loyers un peu salés. Les collocs sont courantes, surtout entre expats.
Enregistrement à l'immigration
Dans certains pays, c’est obligatoire de signaler ton arrivée aux autorités.
Japon : Tu reçois ta Resident Card directement à l'aéroport. Ensuite, direction la mairie de ton quartier sous 14 jours.
Corée : Tu dois aller au Immigration Office pour obtenir un Alien Registration Card (ARC), souvent dans les 90 jours.
Taïwan : Tu dois transformer ton visa PVT en ARC dans le mois suivant ton arrivée.
Hong Kong : Pas d’enregistrement formel, mais il te faudra parfois une preuve d’adresse pour d’autres démarches.
Carte SIM, transports, applis utiles
Sans téléphone, c’est un peu galère pour se repérer ou commander à manger. Heureusement, c’est rapide à régler.
Carte SIM : disponibles à l'aéroport ou dans les convenience stores. Tu peux opter pour un forfait prépayé ou un abonnement si tu restes longtemps.
Transport : Pense à te procurer une carte de transport locale (Suica au Japon, T-Money en Corée, EasyCard à Taïwan, Octopus à Hong Kong).
Applis utiles :
Papago / Google Translate pour la langue
Naver Map / KakaoMap (Corée), CityMapper, LINE (très utilisé à Taïwan et au Japon)
Facebook groups et Meetup pour rencontrer du monde
Une fois tout ça en place, tu pourras vraiment te consacrer à ce pour quoi tu es venu : explorer, rencontrer, apprendre et t’éclater.
5. Travailler pendant son PVT : quelles options ?

L’un des gros avantages du PVT, c’est de pouvoir travailler légalement dans le pays d’accueil tout en voyageant. Et que tu aies besoin de financer ton séjour ou que tu aies juste envie de vivre une expérience locale, les opportunités ne manquent pas… à condition de savoir où chercher.
Petits boulots accessibles aux étrangers
Tu n’as pas besoin d’un CV en béton pour trouver un petit job sur place. Beaucoup de PVTistes optent pour des boulots dans la restauration, des cafés, ou encore dans des magasins, surtout dans les grandes villes. Le plus souvent, on te demandera un minimum de niveau en langue locale ou en anglais, selon l’endroit.
Japon : Les kombini (supérettes), les restaurants, ou encore les hôtels cherchent souvent des étrangers. Le site GaijinPot peut être utile.
Corée du Sud : Même chose, avec des annonces sur WorknPlay, Craiglist Seoul, ou les groupes Facebook. Les cafés, bars ou écoles privées peuvent aussi être intéressants.
Taïwan : Tu trouveras pas mal d’annonces dans les café-restaurants, surtout dans les grandes villes comme Taipei.
Hong Kong : Jobs souvent orientés vers le service ou l’enseignement.
Enseigner l’anglais : une option (presque) classique
Si tu es francophone, tu as peut-être aussi un bon niveau d’anglais. Et ça peut clairement t’ouvrir des portes.
Japon & Corée : Enseigner l’anglais (ou parfois même le français) dans une école privée, une crèche ou via des cours particuliers est une voie assez courante. Avoir un diplôme et une bonne présentation est souvent demandé.
Taïwan : Très gros marché pour l’enseignement de l’anglais, mais on te demandera souvent d’être natif. En tant que Français, ce sera plus compliqué, mais pas impossible via des cours privés.
Hong Kong : Très bon marché aussi, avec pas mal de familles cherchant des tuteurs.
À noter : chaque pays a ses propres règles sur l’enseignement. Renseigne-toi sur ce que ton visa PVT autorise réellement avant de postuler.
Le travail en freelance ou à distance
Si tu es déjà freelance ou que tu travailles en ligne, le PVT peut être une super occasion de changer de décor sans lâcher ton activité. Écriture, graphisme, développement web, traduction, community management… Les possibilités sont nombreuses.
Attention toutefois :
Japon & Corée : Le freelance est toléré, mais ce n’est pas officiellement autorisé avec un visa PVT. Tu ne pourras donc pas déclarer ton activité localement, et il faut être prudent.
Taïwan : Même chose, c’est flou légalement. Certains continuent à travailler en ligne en tant qu’expatriés mais ce n’est pas prévu dans les textes.
Hong Kong : Un peu plus souple, mais attention à ne pas dépasser les limites du visa.
En résumé ? Le freelance ou le télétravail, c’est possible, mais à tes risques et périls, selon le pays. L’idéal est d’avoir une structure déjà déclarée dans ton pays d’origine, ou de garder cela comme activité complémentaire non visible sur place.
6. Conseils pratiques pour vivre un bon PVT

Partir en PVT en Asie, c’est une aventure inoubliable. Mais comme toute aventure, mieux vaut être bien préparé. Voici quelques conseils simples pour vivre ton expérience à fond… sans (trop de) galères.
Prévoir un budget réaliste
Même si certains pays d’Asie sont réputés pour leur coût de la vie abordable, un PVT peut vite coûter cher si on ne planifie pas un minimum. Voilà quelques postes à prendre en compte :
Billets d’avion : entre 600 et 1 200€ A/R selon la saison et le pays
Hébergement : une chambre en colocation à Taipei ou Séoul, par exemple, peut coûter entre 250€ et 500€ par mois
Transports : souvent bon marché, surtout avec les cartes prépayées locales
Nourriture : manger dehors est parfois plus économique que cuisiner (notamment à Taïwan)
Loisirs, sorties, imprévus : prévois un petit coussin de sécurité
Un bon conseil : avoir au moins 2 000 à 3 000€ de côté avant le départ, pour couvrir les premiers mois sans stress.
Bons plans à connaître
Groupes Facebook de PVTistes ou d’expats : pour trouver des jobs, des logements, et poser toutes tes questions.
Applications locales : Naver Map en Corée, Line à Taïwan, Hyperdia au Japon… Télécharge-les dès l’arrivée.
Cartes de paiement sans frais à l’étranger : Revolut, Wise ou Boursorama sont tes meilleures amies.
Assurance santé internationale : obligatoire pour le PVT, mais surtout indispensable en cas de pépin.
En cas d’imprévu
Tu peux tomber malade, perdre ton passeport, ou simplement avoir un gros coup de blues. Ça arrive.
Pense à scanner tous tes documents importants avant le départ (passeport, visa, assurance, etc.).
Note les contacts de ton ambassade ou consulat dans le pays où tu te trouves.
Si tu te sens dépassé, parle-en autour de toi : tu n’es pas seul, et beaucoup de PVTistes sont passés par là aussi.
Trouver l’équilibre entre travail et découverte
Le PVT, ce n’est pas juste pour bosser. C’est surtout une occasion unique de vivre une immersion culturelle complète. Alors :
Ne t’enferme pas dans un rythme métro-boulot-dodo.
Accorde-toi du temps pour explorer, faire des rencontres, apprendre la langue…
Et surtout, écoute-toi. Si tu sens que tu as besoin de ralentir ou de te recentrer, fais-le…
Conclusion : Le PVT en Asie, une aventure qui change une vie

Partir en PVT en Asie, c’est bien plus qu’un simple visa. C’est plonger dans une culture différente, sortir de sa zone de confort, apprendre à se débrouiller… et souvent, en ressortir transformé.
Que tu rêves de déambuler dans les rues de Tokyo, de goûter à la street food à Taipei ou de chanter au karaoké à Séoul après le boulot, le PVT t’offre cette liberté rare : celle de vivre à ton rythme, à l’autre bout du monde.
Bien sûr, tout ne sera pas toujours simple. Mais avec un peu de préparation, de curiosité et l’envie d’apprendre, cette aventure peut devenir l’une des plus belles expériences de ta vie.
Alors, prêt à faire tes valises ;) ?

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